CE STAGE DE PSYCHOGÉNÉALOGIE M’A TOUT FAIT PERDRE
Aquitaine, 30 août 2004
J'ai fait la connaissance d'une jeune femme d’une quarantaine d’années, mère de deux enfants, il y a deux ans. Elle venait juste de se séparer de son ami, mais elle avait déjà divorcé huit ans plus tôt et elle se cherchait beaucoup.
Depuis plusieurs années, elle pratiquait des stages de kinésiologie, le week-end, au sein de l'association "Corps Mémoire" de Mme X qui se trouve à Paris, ce qui l'obligeait à s’y rendre plusieurs fois par an. Cette association qui possède un site web a d’ailleurs été transformée en SARL depuis août dernier avec comme activité déclarée sous le code APE : « Création, édition, distribution de jeux, et tous produits audiovisuels sur tous supports »
Tout en restant chacun chez soi, nous nous voyions régulièrement tous les week-ends, et plusieurs fois dans la semaine. Nous nous entendions très bien et nous pratiquions de nombreuses activités communes. J'avais totalement adopté ses deux enfants et nous étions donc très heureux. J'avais même réussi à m’intégrer dans sa famille, qui m'appréciait beaucoup. Mon ex-amie, me disait souvent qu'elle était heureuse de m'avoir rencontré, d'avoir changé sa vie, d'avoir accepté ses enfants. Nos dernières vacances d'été, en 2002, pendant lesquelles nous étions partis en amoureux, s'étaient très bien passées.
Or, dans le courant de l’année 2003, elle effectua dans la région bordelaise deux stages de thérapie de groupe probablement connexes à la kinésiologie, Durant ces stages, elle rencontra des amies qui l'incitèrent à aller plus loin en faisant de la psychogénéalogie. Tentée par cette nouvelle expérience, elle commence à entreprendre des recherches généalogiques sur sa famille ; date de naissance, et morts des arrière-grands- parents, causes de leur décès, etc.
Entre temps, nous décidâmes de partir en week-end. Lors d’une discussion alors que tout allait bien, elle m’annonça subitement, « j’ai tout pour être heureuse avec toi, mais quelque chose ne va pas ; j’ai absolument besoin de faire ce stage de psychogénéalogie pour y voir plus clair ». (...)
Pour lire la suite: http://www.psyvig.com/doc/doc_41.pdf |