PLAINTE CONTRE MADAME X POUR ABUS DE FAIBLESSE SUR MON ÉPOUSE ET ANALYSE SUCCINCTE DU TÉMOIGNAGE
Janvier 2003 – Evry
Monsieur le Doyen des Juges,
Je me permets de porter plainte contre Madame X surnommée “Y” pour la manipulation mentale et l’abus de confiance qui ont provoqué notre destruction familiale depuis la fin 1999, ce qui s’est traduit par une procédure de divorce en cours.
En effet, Mme X m’avait été imposée par mon épouse à la fin 1998 comme une psychothérapeute qui pouvait nous aider à régler nos problèmes familiaux pour éviter le divorce alors qu’elle était malheureusement tombée sous l’influence de mouvements sectaires depuis quelques années, qui l’avaient conduit à vouloir me quitter pour ne plus avoir à supporter mes réticences et ma méfiance devenue de plus en plus grande.
Mme X qui n’avait aucun diplôme de psychologue, ni cabinet pour nous recevoir a largement profité de cette situation et de la fragilité psychologique de mon épouse qui avait perdu progressivement tout esprit critique. Mme X a alors pu effectuer sa thérapie dite “holistique” qui lui permettait de traiter toute la famille : nous au titre du couple, mon épouse à titre personnel et mes trois jeunes enfants, en attendant que je veuille bien moi aussi accepter une thérapie personnelle. Cela étant opposé au principe fondamental de la psychologie qui impose au thérapeute de ne jamais prendre parti et d’éviter toute prise de pouvoir sur les patients.
De surcroît, le tarif de deux cents francs par personne et par heure, lui était extrêmement avantageux, puisque toutes nos séances qui duraient généralement deux heures le samedi matin, lui rapportaient donc la somme de huit cent francs, en plus des séances individuelles effectuées avec mon épouse et mes enfants. Cela atteignait un budget mensuel de deux à trois mille francs alors que j’étais seul à devoir subvenir à toutes nos dépenses familiales.
Trois événements majeurs ont marqué cette démarche “thérapeutique” qui relève de la manipulation mentale et de l’escroquerie financière.
D’une part, mon épouse est tombée enceinte en mai 1999 à cause d’un moyen de contraception qu’elle avait trouvé dans une publicité du magazine “Médecine Douce” et qui n’était rien d’autre qu’un gadget électronique. Vu que mon épouse m’avait déjà imposé deux autres IVG en 1997 et 1998, j’y étais cette fois fermement opposé. Mme X est alors intervenue pour m’imposer la décision de mon épouse... J’ai découvert par la suite, cette séance de kinésiologie effectuée le 1er juin par Mme Z, qui lui a fait croire qu’elle allait “grandir par son choix d’avorter”. (...)
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